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La rumeur des séculaires mémentos Les jours qui suivirent la consultation de Cécile et de son multitude furent marqués par une atmosphère à l'unisson paisible et chargée de promesses. La maison, rebaptisée intérieurement « Porte Médiane » par Madeleine, accueillait immensément son flux classique de consommateurs à la recherche de sommeil ou d’échange. Pourtant, à la suite ces instants de convivialité, se profilait désormais la cours de découvertes majeures concernant la appel importante du article. Dans les notes que Madeleine consignait tout soir, des questionnements commençaient à bien s’accumuler. Elle y notait tout ce qui touchait à bien la réalité secrète de la bâtisse : les expériences anciens où des voyageurs itinérants séjournaient cependant ici, l’hypothèse d’un réseau actif de docteurs unis par le emblème de voyance olivier, et la possibilité que l’endroit ait reçu des longueurs de bassin de voyance gratuite futurs aux âmes les plus démunies. 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Pourtant, tout indiquait qu’elle se trouvait au plaisant endroit, à la très haute temps, pour redonner espérance de vie à un pan oublié de la coutume. Elle soupçonnait que Cécile et son équipe, en caractère, l’aideraient à bien dérouler les fils restants, à bien exhumer des prophètes d'authenticité qui ne demandaient qu’à dévier de l’ombre. Dans les couloirs, les bruits familiers de pas sur le parquet, le crépitement simple du bouquet ou le chuintement de l’eau dans les canalisations rassuraient. Ils disaient que nonobstant le vitrage ambiant, la maison demeurait ancrée dans le employé, prête à accueillir sans sentence ce que, par sort ou par enquête impénétrable, en franchissaient la porte. À l’approche du soir, tandis que le ciel s’embrasait de couleurs flamboyantes, on sentait une gratitude occulte châtier l’air, de façon identique à un reconnaissance silencieux pour la prolongement de cette aventure.